Quel avenir pour le commerce à Villefranche ?

Publié le par Laurent Tranier

ECONOMIE - Villefranche est une ville de commerce. C'est dans ses gènes et dans son histoire : Villefranche était le point de rencontre et d'échange des productions de deux zones avec des sols et des climats bien différent, les causses et le Ségala.

De cette situation, il subsiste une forte tradition, avec en particulier un tissu de commerces très riches qui a été bouleversé ces dernières années. Avant d'entrer prochainement dans le vif du sujet, à travers l'étude de mai 2010 de la Chambre de Commerce et d'Industrie sur le pôle Villefranchois, je vous invite à découvrir ce reportage passé lundi 10 janvier au 13h de TF1 : bravo à la quincaillerie Théron !

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R
<br /> Bonjour,<br /> <br /> Cela fait quelques mois que je m'interroge sur l'avenir du commerce dans le centre ville de Villefranche de Rouergue.<br /> Je suis une nouvelle habitante depuis le mois d'août 2010 et découvre au fil des mois que cette belle bastide manque de dynamisme, pourquoi ? je suis d'un tempérament optimiste mais je dois avouer<br /> que si rien n'est fait dans ce centre, tout va disparaître et tout le monde ira voir les grands magasins sur la route de Montauban...j'exagère peut être mais quand on se balade en plein après-midi<br /> en semaine et qu'on y découvre des rues aussi désertes qu'un dimanche matin, y a de quoi s'interroger sur l'avenir du commerce dans le centre-ville. Quelle est réellement la volonté politique ? que<br /> fait l'association locale des commerçants ? J'aimerais bien débattre sur le sujet mais même ce blog semble déserté...<br /> Merci d'avance de me lire en espérant pouvoir commencer à un sujet sur ce thème bien brûlant.<br /> Amicalement,<br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Bonjour Rachel et merci de contribuer à faire vivre ce blog. Villefranche est une ville de commerce, ce qui se traduit par une zone de chalandise (50000 habitants environ) et un nombre<br /> de magasins supérieurs à la moyenne des villes de sa taille. La clientèle se répartissant entre le centre-ville et la périphérie en expansion. Les commerçants du centre-ville ont bien des atouts<br /> : la diversité, la qualité, le cadre, les services, etc. Ils sont aussi à un tournant et sont conscients de leur capacité à s'adapter, comme le montre le sujet de TF1 sur la quincaillerie<br /> Théron. Egalement à un tournant institutionnel, avec la création cet hiver de deux associations de commerçants, et une nouvelle équipe qui, nous l'espérons, doit prendre<br /> prochainement les rênes de l'association historique. Je dis "nous", en tant que Conseiller municipal car cette association est un partenaire indispensable du "Plan Bastide" initié il y a 3 ans<br /> qui doit conduire au renouveau du centre-ville. Avec un investissement important dans l'aide à la rénovation privée, dans celle des monuments, des rues et des espaces publics, dans la<br /> propreté, la sécurité, les animations et aussi le commerce avec un recours au FISAC, le fonds national d'aide au commerce de centre-ville. Cette opération FISAC, impulsée par la mairie et les<br /> commerçants suppose, pour exister, la présence de l'association des commerçants au tour de table. Nous aurons l'occasion de revenir sur le "Plan Bastide"...<br /> <br /> <br /> <br />
F
<br /> Ca ne peut pas être un lapsus ! L'éditeur de talent que vous êtes ne confond pas les mots : le commerce à Villefranche est-il pour vous une affaire de gène ou de gêne ? La réponse est probablement<br /> dans l'accent choisi. Je le crains.<br /> Cordialement.<br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Merci M Janodet, j'étais certain de pouvoir compter sur votre vigilance. Il s'agit sans aucun doute de patrimoine génétique... L'accent est corrigé.<br /> <br /> <br /> <br />